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L’Usine Deguerry : un écrin brut pour une soirée folk-rock inoubliable

L'Usine Deguerry : un écrin brut pour une soirée folk-rock inoubliable

L’Usine Deguerry : un écrin brut pour une soirée folk-rock inoubliable

Vendredi soir, l’Usine Deguerry a confirmé son statut de lieu atypique incontournable pour les amoureux de musique live. Entre ambiance industrielle et intimité feutrée, cet espace modulable au cœur de la ville s’est transformé, le temps d’une soirée, en véritable cocon sonore. Brut, arty, et intensément vivant, le lieu a offert un décor parfaitement accordé à l’énergie folk-rock du line-up proposé.

Veys & Animal Joy Club : des premières parties à forte identité

C’est Veys qui a ouvert les festivités, déroulant un set aux accents de blues, de country et de métal vintage. Un son cinématographique, presque poussiéreux, comme une virée en plein désert américain.
Puis, changement d’univers avec Animal Joy Club, aux confins du post-folk et du post-punk. Leur performance, intense et immersive, s’est construite autour de grooves tendus, de sons saturés et de montées progressives presque hypnotiques. Un univers sonore avant-gardiste, taillé pour faire monter la tension avant l’entrée en scène de la tête d’affiche.

Violet Noise : montée en puissance jusqu’à l’extase

Le clou du spectacle est revenu à Violet Noise, dont le set tout en contrastes a marqué les esprits. Démarrage tout en douceur, avec des balades acoustiques portées par une voix cristalline et des arpèges délicats, pour ensuite évoluer vers des passages plus nerveux, plus incarnés. Puis, changement d’univers avec Animal Joy Club, aux confins du post-folk et du post-punk. Leur performance, intense et immersive, s’est construite autour de grooves tendus, de sons saturés et de montées progressives presque hypnotiques. Un univers sonore avant-gardiste, taillé pour faire monter la tension avant l’entrée en scène de la tête d’affiche.

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